December 28, 2021 | Andrew Parkin
Working when Sick: How Workplace Regulations and Culture will Impact the Post-Pandemic Recovery
Working when Sick: How Workplace Regulations and Culture will Impact the Post-Pandemic Recovery
Efforts to improve public health and contain the spread of serious illness must focus on both the lack of paid sick days for many workers and the behaviour of those who have access to paid sick days but choose not to use them because of the prevailing workplace culture.Tweet
The Survey on Employment and Skills is conducted by the Environics Institute for Survey Research, in partnership with the Future Skills Centre and the Diversity Institute at Ryerson University. The third wave of the study consists of a survey of 5,913 Canadians age 18 and over, conducted between June 1 and June 28, 2021, in all provinces and territories. It was conducted both online (in the provinces) and by telephone (in the territories).
Individual key findings:
- Access to paid sick days is an important factor in explaining why some workers might go into work despite feeling sick, and others might not. One in two workers report that (prior to the pandemic) they would typically go into work if they were feeling a bit sick, and among these, two in five explain that they would do so because otherwise they would not get paid.
- Job security clearly translates into the ability to take time off when sick. Those who are more likely to go into work sick because otherwise they would not get paid include part-time workers; those working in sales or service occupations or in jobs relating to trades, transportation and manual labour; those with lower incomes; those working on a non-permanent basis; and those without a college diploma or university degree.
- Access to sick days is only part of the story, as many Canadians go into work sick even though they have access to paid sick days. In fact, the most common reason why Canadians go into work despite feeling sick is a sense of responsibility to their job and coworkers, not because they need to work in order to get paid.
For more information, contact Andrew Parkin.
The Survey on Employment and Skills is funded primarily by the Government of Canada’s Future Skills Centre / Le sondage sur l’emploi et les compétences est financé principalement par le Centre des Compétences futures du gouvernement du Canada.
Travailler en cas de maladie : La manière dont la réglementation et la culture du milieu de travail auront un impact sur la reprise post-pandémique
Les efforts d’amélioration de la santé publique et de lutte à la propagation de maladies graves doivent viser à combler les lacunes en matière d’octroi de congés de maladie payés aux travailleurs.euses qui en sont privé.e.s ainsi qu’à modifier le comportement de la main-d’œuvre qui renonce à ses congés de maladie payés en raison de la culture prédominante en milieu de travail.L'enquête sur l'emploi et les compétences est menée par l'initiative d’Environics Institute for Survey Research en partenariat avec le Centre des Compétences futures et le Diversity Institute de l’Université Ryerson. La troisième vague consiste en un sondage mené auprès de 5 913 Canadiens et Canadiennes âgé.e.s de 18 ans et plus, et ce, entre le 1er et le 28 juin 2021 dans l’ensemble des provinces et territoires. Il a été mené en ligne (dans les provinces) et par téléphone (dans les territoires). Elle a été menée à la fois en ligne (dans les provinces) et par téléphone (dans les territoires).
Principaux constats:
- L’octroi de congés de maladie payés constitue un facteur déterminant dans la décision de certaines personnes à aller travailler ou non en cas de maladie. Un.une travailleur.euse sur deux a déclaré (avant la pandémie) qu’il.elle irait travailler même si il.elle se sentait légèrement indisposé.e.
- La possibilité de prendre un congé en cas de maladie passe par la sécurité d’emploiLe groupe des personnes affichant le plus haut taux de présence au travail en cas de maladie, car elles ne toucheraient aucune rémunération comprend : les personnes travaillant à temps partiel; celles travaillant dans le domaine de la vente ou des services, dans le secteur du transport ou du travail manuel ou exerçant un métier spécialisé; les personnes touchant un faible revenu; les personnes n’occupant pas un emploi permanent; le personnel ne détenant pas de diplôme collégial ou universitaire.
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Pourtant, l’octroi de congés de maladie payés ne reflète qu’un aspect de la situation, étant donné que bon nombre de Canadiens.ennes malades se rendent au travail, et ce, bien qu’ils disposent de congés de maladie payés. En effet, le motif le plus couramment invoqué par la population active canadienne qui, même en cas d’inconfort, va au travail est le sentiment de responsabilité envers son emploi et ses collègues et non parce que le salaire est tributaire de la présence au travail.
Pour en savoir plus, communiquez avec Andrew Parkin.
Le sondage sur l’emploi et les compétences est financé principalement par le Centre des Compétences futures du gouvernement du Canada / The Survey on Employment and Skills is funded primarily by the Government of Canada’s Future Skills Centre.
Survey documents
Final reportRapport final
Detailed data tables (en anglais seulement)
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